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Ford Puma


Étant donné que la Ford Puma La Ford Puma de la fin des années 1990 est arrivée avec le slogan audacieux « Le rêve du conducteur ». La décision de Ford de reprendre le nom de son petit coupé sur le hayon d’un crossover laisse perplexe.

Avec une surface frontale plus grande, un centre de gravité plus élevé et un poids plus important, cette nouvelle Puma s’éloigne clairement du territoire traditionnel du « rêve du conducteur » où l’original de 1034 kg faisait tout ce que les budgets permettaient pour s’en rapprocher.

Le contraste entre la Puma et l’EcoSport est si frappant que l’on se demande si ce dernier n’était pas en fait une astuce de planification stratégique du produit. Une grande voiture est rendue encore meilleure par la comparaison immédiate avec une voiture vraiment horrible.
Matt Saunders | Rédacteur en chef des essais routiers

Mais les temps ont changé. Aujourd’hui, la catégorie des crossovers compacts regorge de membres, les constructeurs profitant de la demande et l’espace du marché de masse pour les projets plus inhabituels et passionnés s’étant rapidement rétréci.

Cependant, ce qui a longtemps fait défaut à ce segment, c’est un véhicule véritablement agréable à conduire, et c’est là que, selon Ford, la nouvelle Puma justifiera son nom. La voiture se glissera dans la gamme entre le morne Ford EcoSport et le Ford Kuga et elle partage une plateforme avec la Ford Fiesta, qui, comme vous l’avez peut-être entendu, est facilement la référence dynamique dans la catégorie des superminis.

La Puma est la première petite Ford à utiliser l’énergie hybride, sous la forme d’un système 48V soutenant un moteur turbo à essence trois cylindres. Le design frappant de la voiture, qui a été décrit comme « anti-bordure » par un designer de Ford, est destiné à voler des ventes à des marques plus haut de gamme, notamment Mini. La Puma possède l’un des plus grands coffres de la catégorie, plus d’espace pour les passagers que la Fiesta et ce que Ford appelle la Megabox, dont nous reparlerons dans un instant. Des cadrans d’instruments entièrement numériques et des aides à la conduite « autonomes » de niveau 2 devraient renforcer son attrait.

Alors, comment la deuxième mouture du Puma se mesure-t-elle aux Nissan Juke, Seat Arona, Skoda Kamiq, Renault Captur, Volkswagen T-Cross et Mini Countryman ? Nous allons le découvrir.

Gamme de moteurs et niveaux de finition de la Ford Puma

Pour l’instant, la gamme de la Puma britannique est relativement simple. La puissance est fournie par le moteur à essence Ecoboost de 1,0 litre de Ford, disponible en 123 ou 153 ch. L’assistance Mild-hybrid est en option sur le moteur de 123 ch et de série sur celui de 153 ch. Tous sont associés à une boîte de vitesses manuelle à six rapports qui entraîne les roues avant.

La gamme de finitions est également simple : notre voiture d’essai en version Titanium représente l’entrée de gamme, suivie des versions ST-Line et ST-Line X. Une Puma à moteur diesel et un modèle ST plus sportif sont en préparation, ce dernier devant être officiellement révélé à un moment donné cette année.

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